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L’isolement à l’ère des réseaux sociaux

Dans un monde saturé de connexions, pourquoi le lien vrai semble-t-il s’étioler ?

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Parcourir le labyrinthe des relations numériques pour retrouver une humanité incarnée.

Nous nous écrivons, mais nous ne nous connaissons pas.

Nous n’avons plus aucun lien. Dès le matin, nous sommes connectés, scrollons,

et nous perdons le sens du sien, car il n’y a que soi.


Nous croyons parler aux autres, mais nous parlons souvent à un écho de nous-mêmes.

Les messages s’accumulent, les conversations se multiplient, mais le silence intérieur grandit.

On réagit vite, on répond par réflexe, mais où est passé le regard ? Où est passée la présence ?

Nous sommes ensemble, sans être là. Nous sommes visibles, sans être vus.


Les réseaux nous promettaient l’ouverture au monde, mais ils ont parfois renforcé nos bulles.

On s’y compare, on s’y expose, on s’y perd.

Le fil d’actualité défile, comme une vie sans pause, une vie qui fuit la profondeur.

La solitude n’est plus un moment choisi, elle est déguisée, maquillée sous les filtres de la foule numérique.


Pourtant, derrière chaque écran, un cœur cherche un vrai contact.

Un mot sincère. Une voix qui ne juge pas. Une main tendue sans attente de retour.

Nous avons besoin de lenteur, de gestes simples, d’un retour au réel.

Le lien ne se mesure pas en abonnés, il se tisse dans l’écoute, dans le silence partagé, dans la vulnérabilité acceptée.


Revenir à soi, pour mieux aller vers l’autre.

Couper le bruit pour entendre ce qui vibre encore.

Car l’humanité ne disparaît pas dans le numérique, mais elle s’y fragilise.

Et c’est à nous de veiller, à chaque instant, à remettre du vrai dans le virtuel,

du souffle dans la connexion, et du cœur dans la communication.

 
 
 

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